Creating a good program is not about freezing a sequence
When discussing program creation with support professionals, one phrase often comes up:
"I've spent a lot of time structuring my content… but I feel it's not working."
It's not a question of skill or motivation. It's a matter of starting model.
And what we’ve observed at Teasio over the years is that a large part of the difficulties comes from a model that is too rigid, inherited from traditional training schemes.
The reflex: building a linear sequence
This is a common and entirely understandable mistake. When creating your first program, you often start by organizing a structured plan, with a beginning, middle, and end.
You add what you think are the right ingredients: an explanatory video, a summary text, a quiz to check learning, and a practical exercise. You replicate what you’ve seen elsewhere—or what you were taught as "good instructional design."
But this model, which works well in some trainings, seldom works in the field of support. It creates programs that are:
- too rigid to adapt to varied profiles
- too long to maintain attention over time
- too top-down to allow for ownership
And above all, it reinforces a feeling of isolation: a program to complete alone, facing a sequence of content that must be "successfully" completed.
What we see working: programs that adapt, not impose
At Teasio, while supporting professionals from various sectors, another way of designing has emerged. What works better? Programs designed as environments, not sequences.
Spaces that meet participants where they are, allowing the professional to choose the right tool at the right time, while maintaining flexibility without losing clarity. We move from a single sequence to an organized toolbox from which we draw according to context, profile, and dynamics.
Example: two very different approaches
The classic linear program
- Step 1: explanatory video
- Step 2: summary text
- Step 3: quiz
- Step 4: exercise
This format applies to everyone, regardless of individual realities. It reassures on structure, but often, engagement feedback is low.
The modular “à la carte” program
- Topic “Motivation”:
- A short capsule to start reflection
- A questionnaire to explore with the advisor
- A tool sheet to activate as needed
- A free notes space, integrated into the program
Here, the professional chooses what is useful; the content is contextualized. The participant is no longer a spectator of fixed content but an actor in their learning journey.
Structuring, yes — but not freezing
It's not about discarding structure, but rethinking it. A good program is not a sequence of identical steps for everyone; it’s a clear framework where one can move, make choices, go back, or advance differently.
At Teasio, we often talk about an activatable library: organized by blocks or themes, where each element has a clear function and the professional controls pace and priorities.
Observed benefits in the field
- Less time spent reformulating the same content
- More real-time availability for listening and analysis
- Better recognition of professional expertise
- Content easier to update
- Greater flexibility to accommodate varied profiles
And for autonomous programs?
The same logic applies.
A fully autonomous program does not mean leaving the participant alone with a sequence of activities. It means providing clear references and resources in which they can orient themselves, choose, and learn at their own pace. For example:
- A welcome space setting the framework and expected posture
- A set of clearly identified thematic modules
- Short, differentiated content (audio, visuals, text, quiz)
- Concrete examples to project themselves
- Self-assessment moments for regular reflection
Teasio, for building differently
We designed Teasio as a platform that supports practices, not confines them. Our interface allows:
- Creating reusable modular steps
- Structuring clear but adaptable programs
- Centralizing tracking, content, and administration
- Evolving materials based on field feedback
And above all: restoring the professional’s true role. Not just following a sequence, but acting as an expert who adjusts, guides, supports, and animates the learning journey.
In summary
✔️ Structuring a program doesn’t mean imposing it
✔️ Creating useful content means thinking about usage, not exhaustiveness
✔️ Modularity is not a compromise; it’s a lever
✔️ The tool should serve the intention, not constrain it
Try all Teasio features now and let’s build clear and coherent support programs together.
Quand on parle de création de parcours avec les accompagnants, une phrase revient souvent :
« J’ai passé beaucoup de temps à structurer mes contenus… mais je sens que ça ne prend pas. »
Ce n’est pas une question de compétence, ni de motivation. C’est une question de modèle de départ.
Et ce que l’on constate depuis plusieurs années chez Teasio, c’est qu’une grande partie des difficultés rencontrées proviennent d’un modèle trop figé, hérité des schémas traditionnels de formation.
Le réflexe : construire un déroulé linéaire
C’est une erreur fréquente, et totalement compréhensible. Lorsqu’on construit son premier parcours, on commence souvent par organiser un plan structuré, avec une entrée, un milieu, une sortie.
On y ajoute ce qu’on pense être les bons ingrédients : une vidéo explicative, un texte synthétique, un quiz pour vérifier les acquis, puis un exercice pratique. On reproduit ce qu’on a vu ailleurs — ou ce qui nous a été enseigné comme « la bonne ingénierie ».
Mais ce modèle, qui fonctionne bien dans certaines formations, fonctionne rarement dans le champ de l’accompagnement. Il crée des parcours :
- trop rigides pour s’adapter aux profils variés
- trop longs pour maintenir l’attention dans la durée
- trop descendus pour laisser place à l’appropriation
Et surtout, il renforce une sensation d’isolement : celle d’un parcours à faire seul, face à une suite de contenus qu’il faut « réussir » à terminer.
Ce que nous voyons fonctionner : des parcours qui s’adaptent, pas qui imposent
Chez Teasio, en accompagnant des professionnels de secteurs variés, on a vu émerger une autre manière de concevoir. Ce qui fonctionne mieux ? Ce sont les parcours pensés comme des environnements, pas comme des séquences.
Des espaces qui accueillent les accompagnés là où ils en sont, qui permettent au professionnel de choisir le bon outil au bon moment, et qui laissent de la souplesse sans perdre en clarté. On passe alors d’un schéma unique à une boîte à outils organisée, dans laquelle on vient piocher selon le contexte, le profil, la dynamique.
Exemple : deux conceptions très différentes
Le parcours linéaire “classique”
- Étape 1 : vidéo explicative
- Étape 2 : texte synthèse
- Étape 3 : quiz
- Étape 4 : exercice
Ce format s’applique à tous, sans distinction, quelle que soit la réalité des personnes. Il rassure sur le plan de la structure, mais souvent, les retours d’engagement sont faibles.
Le parcours modulaire “à la carte”
- Thématique “Motivation” :
- Une capsule courte pour amorcer la réflexion
- Un questionnaire pour creuser avec l’accompagnant
- Une fiche outil à activer selon le besoin
- Un espace de note libre, intégré dans le parcours
Ici, le professionnel choisit ce qui est utile, le contenu est contextualisé. L'accompagné n’est plus spectateur d’un contenu figé, il est acteur de son cheminement.
Structurer, oui — mais pas figer
Il ne s’agit pas de jeter la structure, mais de la penser autrement. Un bon parcours, ce n’est pas une suite d’étapes identiques pour tous, c’est un cadre clair dans lequel on peut bouger, faire des choix, revenir en arrière, ou avancer différemment.
Chez Teasio, on parle souvent de bibliothèque activable : une organisation par blocs ou par thématiques, où chaque élément a une fonction claire, et où le professionnel reste maître du rythme et des priorités.
Les bénéfices observés sur le terrain
- Moins de temps passé à reformuler les mêmes contenus
- Plus de disponibilité en temps réel pour l’écoute et l’analyse
- Une meilleure valorisation de l’expertise du professionnel
- Des contenus plus facilement actualisables
- Une plus grande souplesse pour accueillir des profils variés
Et pour les parcours en autonomie ?
La même logique s’applique.
Un parcours 100 % autonome ne signifie pas qu’on laisse la personne seule dans une suite d’activités. Cela signifie qu’on met à sa disposition des repères et des ressources lisibles, dans lesquels elle peut se repérer, choisir, et apprendre à son rythme. On peut imaginer, par exemple :
- Un espace d’introduction qui pose le cadre et la posture attendue
- Un ensemble de modules thématiques clairement identifiés
- Des contenus courts et différenciés (audio, visuels, texte, quiz)
- Des exemples concrets pour s’y projeter
- Des temps d’auto-évaluation pour faire le point régulièrement
Teasio, pour construire autrement
Nous avons conçu Teasio comme une plateforme qui accompagne les pratiques, pas qui les enferme. Notre interface permet :
- de créer des étapes modulaires réutilisables
- de structurer des parcours clairs mais adaptables
- de centraliser le suivi, les contenus et l’administratif
- de faire évoluer les supports en fonction des retours du terrain
Et surtout : de redonner au professionnel sa vraie place. Pas celle de l’animateur de déroulé, mais celle d’un expert qui ajuste, oriente, soutient et fait vivre l’accompagnement.
En résumé
✔️ Structurer un parcours, ce n’est pas l’imposer
✔️ Créer des contenus utiles, c’est penser usages, pas exhaustivité
✔️ La modularité n’est pas un compromis, c’est un levier
✔️ L’outil doit servir l’intention, pas la contraindre
Testez dès maintenant toutes les fonctionnalités de Teasio et construisons ensemble des accompagnements clairs et cohérents pour vos accompagnants.




